Republiques sovietiques intergalactiques
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Republiques sovietiques intergalactiques

Siege des republiques sovietiques intergalactiques de l'univers 37
 
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 Chronique de Rattatouille

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Ratatouille
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Ratatouille


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MessageSujet: Chronique de Rattatouille   Chronique de Rattatouille Icon_minitimeMar 12 Fév - 20:43

Le petit a encore fait un cauchemar cette nuit. Ce n’est pas qu’il n’aime pas sa nouvelle vie de père, passer d’un vie de célibataire fini à cette nouvelle vie avait été une des meilleures choses, mais Xavier ne sait plus comment il doit réagir. Sophie et lui sont ensemble depuis maintenant 2 mois, et ça marche vraiment bien entre eux, il se disent tout, se respectent l’un l’autre, mais il n’ose pas lui révéler qu’il a les jetons, ou plutôt que ce mioche lui fou les pétoches. C’est sûr, que pour son âge ce gosse est très mature, intelligent, et surtout ce gamin est tordant - avant lui Xavier avait horreur des enfants-, ça il ne le conteste pas, mais il n’empêche qu’à chaque fois qu’il se réveille en hurlant c’est de plus en plus perturbant. S’il n’y avait eu que ça à la rigueur - il avait d’ailleurs lui-même été enclin a des rêves plutôt bizarres dans sa jeunesse et il lui arrivait même qu’un ou deux resurgisse une fois de temps en temps. Mais il avait su les dominer assez tôt, son père lui avait d’ailleurs raconter un jour que les rêves sont opposés à la réalité, et même s’il n’avait pas compris tout de suite la portée de ces mots, il avait su l’apprivoiser – mais il arrivait aussi maintenant au gamin de parler durant son sommeil, et plus récemment de rêver éveillé. Bien que les premières fois Sophie et lui avaient adoré l’écouter tantôt parler d’un trésor enfoui puis le lendemain d’une épidémie déclenché en plein cœur de la ville, l’effet était allé crescendo et ces temps ci il ne parlait guerre plus que de rêves plus morbides les uns que les autres, et il était proie à des crises d’anxiété à chaque fois que l’heure du coucher arrivait.
Mais cette nuit avait de loin dépassé tout entendement. L’appartement dans lequel ils vivaient était des plus normal, un 75m² près de la place de Clichy, avec ses deux chambres collées l’une a l’autre. Le cadre paisible offrirait normalement une vie paisible à ses locataires, mais avec les nuit qu’ils passaient ce n’était malheureusement pas le cas. Il fallait qu’il prenne une décision. Le gosse s’était réveillé avec des bleus sur tout le bras droit ainsi que sur le torse. Sophie avait plus tard conclu qu’il avait du tomber du lit après un énième cauchemar, mais lui savait bien que ce n’était pas ça, et il s’était bien gardé de le lui dire, il était inutile de l’effrayer pour l’instant.
C’est lui qui était entré dans la chambre le premier, et il n’aurait souhaité pour rien au monde que ce fut elle qui entre. Ce spectacle n’était recommandé pas même au dernier des condamnés. A l’instant où il avait franchit le seuil de la porte, il avait compris que cela avait été différent cette fois ci. L’angle que formait le bras de Peter était choquant, le cri strident était maintenant expliqué, son bras était sûrement déboîté. Mais le pire, ce qui avait cloué Xavier dans un paralysie due au choc, c’était le regard du petit, il avait les yeux grand ouverts, on aurait dit des soucoupes, mais c’était les yeux d’un fou. Un fou pour qui il n’y aurait plus rien eu à faire, mais comme toutes les fois où il s’était réveillé dans cet état, Peter en reprenant ses esprits avait commencé à pleurer, de ces larmes qui vous transperce littéralement le cœur, pas les larmes d’un enfant ordinaire, mais les larmes de quelqu’un dont vous savez qu’il est profondément touché. Il avait ensuite fini par appeler sa mère. Mais Xavier ne pouvait pas la laisser le voir comme ça, s’eut été un choc trop grand pour toute personne normale. Alors il fit ce qu’il avait à faire il pris le garçon dans ses bras et commença à doucement le bercer comme le faisait son père avec lui. Et alors pour la première fois depuis qu’il avait rencontré Sophie, Peter regardait Xavier droit dans les yeux, non pas comme un enfant regarde un adulte, mais plutôt comme un adulte regarderait un enfant, avec cette sorte de compassion à la fois dérangeante et agréable. Ce qu’il lui dit ensuite figea instantanément le sang de Xavier dans ses veines. « _ Merci papa. » Et il ne pu s’empêcher de pleurer avec le garçon. C’était une des raisons pour laquelle il ne pouvait plus quitter Sophie. Malgré le fait que ce gosse vous dérangeait parfois d’une manière indescriptible, il était d’une nature très attachante, trop attachante.
C’est sur ces mots que Sophie entra dans la pièce, et ce qu’elle vit lui apprit à elle aussi qu’elle avait enfin trouvé quelqu’un qui pourrait veiller sur elle et son fils. Xavier tenait Peter dans ces bras et dans un mouvement de balancier qui aurait été des plus comiques dans d’autres circonstances. Tous deux pleuraient en souriant, c’était une image qui avait fait passer un étrange frisson tout le long de sa nuque. Pas désagréable, d’ailleurs même plutôt l’inverse, c’était un de ces frissons que vous aviez lorsque assisté à une scène dont vous ne faites pas parti mais que vous assimilez instantanément, comme si vous partagiez ce moment.
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Ratatouille
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MessageSujet: Re: Chronique de Rattatouille   Chronique de Rattatouille Icon_minitimeMar 12 Fév - 20:43

Dès le lendemain matin, Xavier et Peter s’étaient tous les deux rendus dans un de ces centres hospitaliers gigantesque. Vous entrez là-dedans et vous avez toujours l’impression que vous n’êtes qu’une statistique supplémentaire pour les patients qui franchiront ces portes plus tard. Xavier n’avait pu se retenir plus longtemps et avait finalement craqué puis offert une glace à Peter. La femme qui s’occupait de l’accueil était au téléphone lorsqu’ils étaient enfin arrivés à la fin de l’interminable file d’attente. Elle fit un grand sourire à Peter qui le lui rendit avec franchise. C’était une femme d’un trentaine d’année et dès qu’elle eut posé le réceptacle elle fit de nouveau un grand sourire a Peter et lui tendit une sucette. Il avait une capacité incroyable à plaire aux gens, mais Xavier pensait que tous les gosses avaient ça en eux. Il refusa la sucette en prétextant que les sucreries c’était fini pour aujourd’hui. Ils avaient donc pris rendez-vous avec un de ces psychiatres pour lesquels Xavier n’avait tristement jamais eu confiance depuis qu’il avait eu à faire avec eux tout jeune. Xavier ne croyait absolument pas que ces gens là puissent quoi que ce soit pour Peter, pas plus qu’il n’avait à l’epoque pu faire pour lui, mais c’était Sophie qui avait insisté pour qu’ils s’y rendent tous les deux. Elle avait eu l’info d’une de ses amies qui travaillait dans l’hôpital, qui lui avait dit que ce Dr Kellermann était fantastique, que grâce a lui ses trois fils avaient changés du tout au tout. Ils ne jouaient plus aussi souvent à la console et faisaient même leur devoir dès qu’ils rentraient de l’école. Chose qu’elle-même n’avait jamais réussi a leur faire faire. Mais elle avait surtout insisté pour qu’ils reprennent ce qu’ils avaient entamé la veille, les moments d’intimité forgent la vie de famille, et sur ce point, elle n’avait absolument pas tort. Quand ils entrèrent dans son bureau, le docteur Kellermann les avait tous deux salués – c’était un homme d’age mûr grand et solide environ son mètre quatre-vingt - et avait même gratifié Peter d’un petit clin d’œil. Peter adorait faire des clins d’œil, depuis qu’il avait vu cette série policière - il ne se souvenait plus du titre – dans laquelle le héros faisait des clins d’œil à tout bout de champ. Il avait pris l’habitude d’en faire à chaque fois que l’occasion se présentait. Le doc marquait un point sur ce coup là, mais Xavier gardait un peu de recul, ça aussi c’était son père qui le lui avait appris.
« _ Dites moi donc ce qui vous amène tous les deux, et qui semble t il nécessite l’avis du pedo-psychiatre le plus cool de toute la ville. Nouveau clin d’œil en l’honneur de Peter.
_Voilà, cela fait maintenant 2 semaines que le petit fait des rêves de plus en plus inquiétants, cette nuit il s’est même réveillé avec des ecchymoses partout sur le haut du corps…
_Très bien, très bien, mais laissez donc parlez l’intéressé, le docteur pris un dossier, fit mine de chercher un nom du bout de son doigt puis conclut : Peter c’est ça ? Je t’écoute, dit moi tout ce que tu veux bien me dire sur ces nuits si difficiles.
_C’est difficile à raconter monsieur…
_Appelle moi Doc, pas de monsieur entre nous n’est-ce pas? Nouveau clin d’œil. Vas-y continue.
_Et bien… quand je me couche le soir, et que je suis sur le point de m’endormir, il m’arrive d’entendre une sorte de carillon, il a toujours été plutôt doux, et je le trouvai presque soporifique, comme ce bidule que maman utilise pour jouer du piano, mais ces jours ci il s’est fait de plus en plus agressifs et puis vous voyez… Au fur et à mesure qu’il parlait sa cadence accélérait de plus en plus, c’était manifestement la première fois qu’il parlait concrètement de ces rêves. Et puis dès que le carillon cesse je me retrouve toujours au même endroit, je vois un long corridor menant à une salle remplie de portes dont je ne vois jamais le bout et c’est là qu’il vient…
_Qui ça ?
_L’autre…
_Quel autre ?
_Il s’appelle comme moi c’est ça qui est drôle mais je lui ai promis de ne jamais rien dire sur lui a qui que ce soit, pas même a maman. Et puis il m’a promis qu’il m’apprendrait si je respectais ma parole.
_Qu’il t’apprendrait quoi ? Tu peux me le dire ça ?
_Je ne sais pas, mais je pourrais lui demander la prochaine fois si vous voulez… »
Xavier qui avait suivi toute la conversation n’en revenait pas… Comment ce médecin aux airs baba cool avait il pu délier la langue de Peter là ou Sophie et lui avait échoué ? Il y avait manifestement quelque chose qui était passé entre les deux. Le Dr Kellermann avait ensuite appuyé sur ce qui ressemblait a un interphone :
_Giselle voulez vous bien venir deux minutes s’il vous plait ? La minute d’après la porte s’ouvrait sur la réceptionniste qui avait souri à Peter, elle fit de nouveau un grand sourire et lui fit signe de la rejoindre, chose qu’il fit sur le champ, il n’avait manifestement pas envie d’en dire plus.
« _ J’aimerai vous dire quelques mots si vous me le permettez monsieur…
_Appelez moi Xavier s’il vous plait.
_Très bien. Donc comme vous l’avez sûrement compris, Peter ne souffre manifestement pas de troubles du sommeil, mais de ce qu’on pourrait pour l’instant qualifier d’un dédoublement de la personnalité. Je n’irai pas jusqu’à dire que cela est fréquent chez certains enfants de son age, mais voyez vous, lorsqu’un enfant développe une maturité précoce, et c’est le cas de votre fils, il a tendance à se diviser en deux états majeurs : les moments où il reste un enfant, et les autres, ceux dans lesquels nous pourrions le qualifier « d’adulte ». J’aimerai faire quelques tests avec votre fils, nous commencerions donc par les tests de QI habituels, mais je souhaiterai également avec votre permission faire quelques séances d’hypnose pour essayer d’interagir avec « son autre lui ».
_Oui mais je ne comprend pas, comment se fait il qu’il se soit réveillé la nuit dernière avec toutes ces traces de coups sur le corps ?
_Nous pourrions peut être nous penché sur l’idée qu’il se les soient faites tout seul… Et croyez moi quand je vous dit que je sais que vous ne devez pas appréciez le moins du monde cette idée, mais c’est ce qu’il y a de plus plausible…
_Il y a une seconde vous me disiez qu’il était plus intelligent que les autres, maintenant vous me dites qu’il est assez stupide pour se faire ces marques tout seul ? Passe encore pour le dédoublement de la personnalité, mais la c’est carrément du masochisme !
_ Vous ne comprenez pas là ou je veux en venir, les politesses avait dès lors disparues de la conversation, ce que j’essaie de vous expliquer c’est que votre fils commence a créer une personnalité pour laquelle être un enfant n’est plus suffisant. Il va vouloir …
_J’en ai assez entendu Dr Kellermann, je crois que nous allons en rester là, dites moi combien je vous doit et nous nous en irons comme nous sommes venus.
_Je souhaiterai revoir votre fils, le plus tôt sera le mieux, il est des vérités qui sont parfois dures à entendre mais qui doivent l’être! Toutes les séances seront prises sur mon temps libre et ne seront donc pas facturées. Je vous en prie faites moi confiance tenez voici ma carte, parlez en avec votre femme et nous verrons…
Sur ces mots Xavier avait quitté la pièce, mais il savait déjà qu’ils reverraient le Dr, Sophie ne laisserait pas cette affaire en suspend tant qu’elle n’aurait pas de réponse concrète.
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MessageSujet: Re: Chronique de Rattatouille   Chronique de Rattatouille Icon_minitimeJeu 14 Fév - 20:33

Mais tout ceci n’a pas d’importance, car ce Week-end c’est pique-nique aux Batignolles, et pour l’occasion tout le monde semblait avoir mis cet épisode dans un coin de son esprit ! C’est la première véritable sortie qu’ils font tous les trois, et ils sont tous plus ou moins excité pour des raisons qui leur sont propres. Peter a bien dormi cette nuit et c’est temps mieux. Ils ont tous cette sérénité au fond d’eux, qui leur fait déjà penser qu’ils vont enfin passer une excellente journée. Et c’est le cas, le départ ce fait dans la joie et la bonne humeur. Pendant qu’elle prépare les sandwichs, eux se prélassent tranquillement devant un dessin animé que même Xavier se surprend a accroché ! Il s’agit de gamins qui apprennent à devenir ninja, de son temps, ça n’aurait sûrement pas fait fureur, mais il comprenait bien qu’aujourd’hui les mœurs avaient évolués.
Ca y est, l’heure du départ était arrivée… Xavier avait préalablement garé la voiture près de l’appartement, en double file, car c’est une véritable plaie de trouver une place de nos jours, et louer un parking vous coûte les yeux de la tête lorsque vous êtes en milieu modeste. Mais aujourd’hui tous ces problèmes n’ont pas lieu d’être, on n’y pense même pas, l’important est d’arriver là bas le plus vite possible et dans les meilleures conditions pour pouvoir profiter de cette magnifique journée le plus possible. Il s’agit dorénavant de faire l’inventaire, de ne rien oublier.
_Dis maman, où as-tu rangé mon ballon ?
_Je l’ai vu dans ta chambre mon chéri, il doit être au dessus de ton armoire, tu te sens l’âme d’un acrobate, ou tu veux que je demande à Xav de venir t’aider ?
_Non, c’est bon maman je peux le faire tout seul !
Ah, ces gosses, en fin de comptes ils ne sont pas si différents que nous. Quand il s’agit de montrer ce qu’on vaut, ils sont aussi au rendez-vous.
_Tu as besoin d’aide babylove ?
_Non, retourne flâner devant la télé, j’ai bientôt terminé, il ne nous reste plus qu’à partir et éviter les grandes rues, j’ai entendu dire que les bouchons allaient créent des pics de pollution aujourd’hui!
_Ca c’est mon boulot babylove. C’est mon boulot…
Et c’est ce qu’il fait, le trajet ne dure pas plus de trente minutes, il faut dire que Xavier est un excellent meneur de troupe, et qu’il connaît tout les petits raccourcis parisiens que seul un véritable adepte peut connaître ! Après avoir trouvé un coin dont Xavier pensait être le seul à connaître, ils s’étaient bien installé et avaient commencé à manger. Le repas était tout juste entamé lorsque Peter laissa échapper une phrase qu’il regretta instantanément. « Il est joli ce carillon. » L’esprit de Xavier s’était directement mis en alerte, bien entendu Sophie ne savait pas encore ce que signifiait cette phrase, mais le mal était fait.
« _Quel carillon mon chéri ?
_Oh ce doit sûrement être le carillon du manège qu’il a entendu ! Quel ouïe mon bonhomme !
Xavier avait réussi à rattraper le coup. Le fait que Sophie n’ait pas encore eu vent de ce carillon était pour l’instant bénéfique pour eux, mais Xavier savait d’ors et déjà que quelque chose allait se passer.
_ Oh oui maman ! Dis je peux aller faire un tour de manège ?
_Quelle bonne idée ! Je suis sûr que maman sera d’accord pour aller te chercher une ou deux places. Hein chérie qu’en dis tu ?
_Oui, pourquoi pas, mais pas tout de suite on vient juste de s’installer…
_Raison de plus mon amour, après le manège sera plein, et il faudra encore faire des kilomètres de queue… Que dirais tu d’y aller pendant que le chef et moi préparons le dessert ? Clin d’œil pour Peter.
_Bon… Si vous insistez.
Il fallait que Xavier parle au plus vite avec Peter, seul à seul et c’était le seul moyen qui lui était venu a l’esprit. Il attendit donc qu’une certaine distance se soit créée entre eux pour commencer à parler.
_Alors Peter, tu l’entends à nouveau ?
_Oui. Il parlait à nouveau de cette voie détachée qu’il prenait lorsque les choses commençaient à devenir sérieuses. Je sais pourquoi tu as dis à maman d’aller chercher les places tout de suite, et « il » le sait aussi.
_Comment ça « il » le sait aussi ?
_Il veut bien que j’en parle avec toi. Il m’a interdit de revoir le doc, mais il a dit que toi tu comprendrais, que vous vous connaissiez déjà. »
C’en était trop, qu’est ce que c’était que cette histoire nom d’un chien ?!
« _Qu’est ce que tu veux dire par « vous vous connaissiez déjà » ?
_Il m’a dit que tu dirais ça aussi. Et il a aussi dit que tu allais opposer une résistance au début.
_Une résistance ? Mais c’est dingue de quoi tu parles ? »
Mais c’était déjà trop tard, la machine était lancé, les choses allaient beaucoup trop vite et il ne pouvait plus faire machine arrière, déjà il voyait Sophie au loin qui revenait vers eux, mais sa vue se troublait, il était pris de vertige et d’une envie irrésistible de dormir. Peter lui pris la tête dans les mains et lui déposa un doux baiser sur le front. Il dit aussi quelque chose mais Xavier n’en saisit pas le sens.
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